Galerie negen punt negen Sint-Amandstraat, 49
Exposition Galerie Christine Colon 27-10-2018 au
"Les tableaux fantômes de Bailleul" Musée La
"Les tableaux fantômes de Bailleul"
Musée La Piscine, Roubaix , France
exposition du 20 octobre 2018 au 20 janvier 2019
http://www.roubaix-lapiscine.com/…/les-tableaux-fantomes-d…/
Je présenterai "Marquise", autoportrait-parodie du tableau disparu
de Théodore FANTIN-LATOUR,
accompagné d'un texte de Véronique Bergen, écrivain Belge.
L’AMOUR EN SENS INTERDIT
par Véronique Bergen.
Du titre « Marquise » du tableau de Théodore Fantin-Latour à sa réappropriation par Jacqueline Devreux, on bascule d’un monde figé (la marquise désignant à la fois divers objets — un fauteuil, un auvent, une bague… — et un sujet dépeint par sa catégorie sociale) à un univers où la femme a conquis une position subjective. L’occupation de l’espace, les coordonnées descriptives sont les mêmes (femme assise dans un fauteuil, table, livre ouvert, collier de perles, robe décolletée, fleur…) et pourtant tout a changé. D’un portait pastel vu du dehors, on glisse dans un autoportrait en noir et blanc placé sous le signe de la féerie érotique. La marquise semble moins une Cambremer ou une Villeparisis sortie du gotha proustien qu’une fleur de bordel aguichante, offrant ses charmes vénéneux, maîtresse de son corps, des plaisirs tarifés et des ivresses de la chair. Son nom indique qu’elle officie des cérémonies catines, auréolée de son titre de marquise des anges blonds ou noirs, des séraphins fétichistes ou des créatures lucifériennes.
Dans son corsage échancré, une rose aux accents baudelairiens. Dans ses yeux, son regard frontal, un éclat saphique. Elle tient en main le livre de sa vie ; pas question pour la courtisane trônant en son boudoir que le Destin ou ses porte-paroles en tournent les pages.
La marquise, évoquions-nous, a cessé de signifier la réduction de la femme-sujet à la femme-objet. Sa passion ? Coudre le « oui » à l’« encore » dans sa robe vintage Félicien Rops.
Elle épouse la nuit et, féline, mordille les hommes au creux de la nuque quand la lune tournoie sur sa pointe. À ceux qui se sépulcrent, elle lance son collier de perles aphrodisiaques. Séditieuse et vicieusement pure, affirmatif ; peroxyde de charmes et chasseresse, no comment. Variantes autour des vanités et de la jouissance, affirmatif ; chevauchée walkyrienne sans armure, no comment.
L’ombre de son talon aiguille embroche le codex des bienséances.
Depuis toujours, la femme sort du cadre, échappe aux contours ; dépassant le cadre ovale du tableau-miroir, le pied chaussé d’un escarpin l’atteste. La marquise n’a que faire des limites, des tabous ; la belle de nuit traverse l’inceste, pratique l’amour en sens interdit. Ceux qui attendent la mort, elle les orage crucifixion d’orgasmes derrière le rideau.
Tireuse de cartes, oraculaire, poitrine nue saillante, elle s’attend au détours d’étreintes buissonnières.
Curriculum sexy. Axiome viscéral : n’être jamais spectatrice, mais l’actrice qui dicte le rythme de la foudre. Elle tire le rideau des fantasmes quand ça la bacchanale.
Ni génuflexion ni rédemption, un je ne sais quoi de la Marquise de Merteuil dans sa philosophie libertine.
Un zeste de Gainsbourg dans l’atoll de sa mémoire :
Si elle assure affirmatif quoi toute seule no comment
De la technique affirmatif du doigté no comment
Self control affirmatif comment ça ooh ooh ooh
Si elle aime ça affirmatif quel côté no comment.
Earth with and fire
crayon graphite- 2018
Monsieur René
crayon graphite 2018
Un passé encombrant
crayon graphite 2018
La puissance des sortilèges.
Véronique Bergen.
Dans ses peintures, ses dessins nimbés de flou, Jacqueline Devreux plonge au cœur des mystères de l’identité, du féminin, du désir. On ne peut recevoir son œuvre que dans le tremblement des certitudes, à fleur d’un envoûtement qui met à nu nos scénographies fantasmatiques. Ses compositions savamment maîtrisées exercent un impact physique qui naît de leur exploration sensuelle et intime de continents mythiques.
Que faire d’un monde qui n’est que simulacres, danse de spectres, vibrations d’irréalité, palimpseste ? Que faire d’un soi multiple, pris dans le vertige des masques, dans les tourbillons d’une commedia dell’arte de l’existence ? Que faire des images archaïques, primordiales qui, venues de l’inconscient individuel autant que collectif, montent au visible ? Pour que la fête ne s’arrête jamais, la vie et la mort jouent à cache-cache. Dans Party girls, le masque de la Camarde participe d’une philosophie des bacchanales, du carnaval à perpétuité. L’œil gauche du masque mortuaire devient un miroir reflétant un visage. Comme dans les photographies de Francesca Woodman, le corps perd ses contours, sa consistance et se confond avec le papier peint.
Les places de l’artiste et du spectateur sont soumises à une rotation déstabilisante : sommé de se laisser aller à être voyeur, notre œil contemple sa nudité au travers de celle de la femme allongée dans l’herbe (Je me vois nue). Dans La vilaine Lulu, l’atmosphère de jeux et de plaisirs interdits entraînent la dissipation du visage. Pour déferler, la nuit des sens exige de perdre la tête, de s’abandonner aux chimères de l’érotisme, de l’enfance, de courir à rebours de l’âge adulte. Se laisser transporter par l’univers onirique de Jacqueline Devreux exige de lâcher les amarres, d’entrer nus dans des contes peuplés de doubles, de revenants.
S’originant dans la photographie prise comme un matériau qu’ils reconfigurent, réélaborent radicalement, les dessins s’aventurent dans l’en deçà du représentable, aux confins des pulsions et de ce qui résiste au visible. L’étrange beauté produite par l’effacement des traits, par l’érosion du visage, crée un théâtre de l’intime qui apostrophe les zones obscures des spectateurs. Face au drapé des ombres d’Un passé encombrant, aucun recul n’est possible. Jacqueline Devreux dévoile les gouffres, les mystères tapis derrière le ballet inoffensif des apparences. L’artiste tord le cou à la tautologie prise dans une itération infinie posée par Gertrude Stein dans son célèbre a rose is a rose is a rose. A face is not a face is not a face… Jamais un visage n’est un visage, jamais un être ne coïncide avec lui-même. Il n’y a d’autoportrait de soi qui ne soit portrait d’un autre. Le « Je est un autre » se décline jusqu’aux vacillements où L’autre est le je.
#Balancetonporc, Eraserhead, The Raven, La vie en rose, Darling… L’actualité, le cinéma sont convoqués, détournés au profit d’une interrogation sur leurs enjeux cachés. Balance ton porc s’aventure du côté de Bataille, de son « je pense comme une fille enlève sa robe ». Culotte tombée sur les mollets, la femme soulève sa robe à notre attention tandis qu’à ses côtés un porc nous émeut par sa douceur. L’artiste nous balance son corps, la beauté du porcelet. Au travers de son travail sur le brouillage des sexes, des codes vestimentaires (Ces quelques fleurs), Jacqueline Devreux livre un théâtre du double au sens d’Artaud, où l’humour et l’empire du songe passent au crible de leurs puissances le fanatisme et la lourdeur des modes, des nouveaux mots d’ordre, queer javellisé ou postféminisme borné.
Où se trouve la tête sinon dans un sexe féminin parodiant l’origine du monde, béant comme une question posée par la sphinge (Head) ?
Un effet d’écho court des robes à pois aux motifs des papiers peints comme si les premières et les seconds portaient en eux l’empreinte d’événements enfouis, témoins muets d’enchantements ou de drames que Jacqueline Devreux présente de biais, redoublant le mystère par le mystère.
Lewis Carroll avec Alice au pays des merveilles, Pauline Réage au travers d’Histoire d’O, peut-être Hans Bellmer avec La muñeca sont invités au bal imaginaire de l’artiste, non comme des référents mais comme des fabuleux réservoirs de fictions, de récits. L’artiste féconde les topoï littéraires, plastiques les uns par les autres. Dans Histoire d’O, assise sur une chaise, l’héroïne quasi nue met ses mains en visière : l’éveil d’O aux délices du masochisme se distord vers Barbe-Bleue et son célèbre « Ma sœur Anne, ne vois-tu rien venir ? ». Dans une pièce vétuste, la poupée en jeans se pose en sujet d’énonciation qui dément le titre La muñeca. Loin de la poupée démembrée de Bellmer, celle de Jacqueline Devreux crie sa présence. Le titre nous égare, l’horizon d’attente du spectateur se trouve désarçonné, le dessin La Vie en rose baptise une jeune femme au visage fermé, aux gants de boxe. Émancipée de ses tuteurs, les frères Grimm, accompagnée d’un des sept nains, Blanche-Neige aux talons aiguilles s’apprête à se livrer à la cérémonie de l’empalement.
La vie est un cabinet de curiosités, un cabaret, un bordel baroque où Madame rêve éveillée. La vie est un carrousel de variations où le même événement revient deux fois, une fois masqué (La promesse), une fois démasqué (Things we said today). La vie est un ange qui passe et que nous laissons filer (Un ange passe). L’histoire de l’art est revisitée, dans un jeu libre de citations, d’intertextualités. Nul besoin d’avoir engrangé, d’avoir à l’esprit les tableaux de Courbet, de Manet, de Delacroix pour se crucifier sur la magie de la composition de Jeune fille et perroquet, pour se trouver happés par la rencontre métaphysique entre les deux créatures.La partie d’échecs se joue soi contre soi, la femme nue avance ses pions face à la fumeuse de pipe tandis qu’un double spectral que ni les joueuses, ni le chien sous la table ne perçoivent se dresse dans le fond (Judgment day). Le chat retient la fillette dans une enfance perpétuelle, non l’enfance comme âge de la vie mais comme expérience ontologique indifférente à la loi de Chronos (Le chat).
À l’exception du fond bleu irradiant dans The Raven, du passage alchimique au bleu dans Blues pour Poussette, la palette oscille des noirs, des blancs aux gris et bruns, campant un monde à part, à l’écart du présent, scandé en tranches de vie immobilisées, en tranches de vision soustraites à la flèche du temps. Aplats ou traits hachurés, lumière frangée par l’ombre, certains dessins sont pris dans des mouvements tourbillonnants qui procurent une aura de surréalité.
L’ensemble de la série pourrait avoir comme sous-titre L’initiation, titre de l’un des dessins où un couple d’hommes nous regarde. Seul l’oiseau perché sur l’épaule du personnage androgyne en avant-plan pourrait nous dire si la scène relève des préludes ou du Post coitum omne animal triste est.
Zones ravagées de flou, soustraction des formes… le monde s’efface si on ne le regarde pas assez, si on le regarde trop ou mal ; le visible s’effiloche si on pratique le voir sans voir, la vision yeux crevés. Le chien collé à la poitrine d’une femme nue tourne le regard vers nous alors que la femme garde les yeux clos. Le chien nous dit combien Spinoza peut nous sauver la vie. Dans La promesse, la lumière déserte l’univers afin de courtiser le sein qu’une femme masquée nous tend. Qui consent à s’immerger dans les créations de Jacqueline Devreux, à quitter les lois orthonormées du monde ordinaire, fait l’épreuve d’une révélation : la peinture peut nous sauver. Nous sauver de ce qui réduit la vie au calculable, au rationnel, à l’unidimensionnel.
Si l’œil écoute, c’est au sens où nous percevons le chant de sirène libéré par Jacqueline Devreux, un chant plastique entre ludisme, contes pour petites filles perverses et sortilèges hantés par la féerie. Willkommen, comme l’énonce l’un des dessins, dans l’univers fantasmagorique de Jacqueline Devreux, un univers dans lequel il n’est jamais sûr que les ours en peluche rescapés de l’enfance réussissent à sauver l’enfance.
7e épisode des Tableaux-Fantômes Mercredi 30 mai,
7e épisode des Tableaux-Fantômes
Mercredi 30 mai, 18h30, vernissage à la Maison de Marguerite Yourcenar .
Villa départementale Marguerite Yourcenar
2266 Route du parc - 59270 ST JANS CAPPEL
Faisant partie des artistes invités par Luc Hossepied, Eric Rigollaud et Nicolas Tourte ,
je présenterai une pièce .
" Marquise", mine de plomb sur papier, h. 744 mm x l 602 mm, cadre ovale couronné d'un noeud, bois noir
réalisée d'après une description d'un tableau disparu de Théodore Fantin-Latour.
L’AMOUR EN SENS INTERDIT
Véronique Bergen - 2018
Du titre « Marquise » du tableau de Théodore Fantin-Latour à sa réappropriation par Jacqueline Devreux, on bascule d’un monde figé (la marquise désignant à la fois divers objets — un fauteuil, un auvent, une bague… — et un sujet dépeint par sa catégorie sociale) à un univers où la femme a conquis une position subjective. L’occupation de l’espace, les coordonnées descriptives sont les mêmes (femme assise dans un fauteuil, table, livre ouvert, collier de perles, robe décolletée, fleur…) et pourtant tout a changé. D’un portait pastel vu du dehors, on glisse dans un autoportrait en noir et blanc placé sous le signe de la féerie érotique. La marquise semble moins une Cambremer ou une Villeparisis sortie du gotha proustien qu’une fleur de bordel aguichante, offrant ses charmes vénéneux, maîtresse de son corps, des plaisirs tarifés et des ivresses de la chair. Son nom indique qu’elle officie des cérémonies catines, auréolée de son titre de marquise des anges blonds ou noirs, des séraphins fétichistes ou des créatures lucifériennes.
Dans son corsage échancré, une rose aux accents baudelairiens. Dans ses yeux, son regard frontal, un éclat saphique. Elle tient en main le livre de sa vie ; pas question pour la courtisane trônant en son boudoir que le Destin ou ses porte-paroles en tournent les pages.
La marquise, évoquions-nous, a cessé de signifier la réduction de la femme-sujet à la femme-objet. Sa passion ? Coudre le « oui » à l’« encore » dans sa robe vintage Félicien Rops.
Elle épouse la nuit et, féline, mordille les hommes au creux de la nuque quand la lune tournoie sur sa pointe. À ceux qui se sépulcrent, elle lance son collier de perles aphrodisiaques. Séditieuse et vicieusement pure, affirmatif ; peroxyde de charmes et chasseresse, no comment. Variantes autour des vanités et de la jouissance, affirmatif ; chevauchée walkyrienne sans armure, no comment.
L’ombre de son talon aiguille embroche le codex des bienséances.
Depuis toujours, la femme sort du cadre, échappe aux contours ; dépassant le cadre ovale du tableau-miroir, le pied chaussé d’un escarpin l’atteste. La marquise n’a que faire des limites, des tabous ; la belle de nuit traverse l’inceste, pratique l’amour en sens interdit. Ceux qui attendent la mort, elle les orage crucifixion d’orgasmes derrière le rideau.
Tireuse de cartes, oraculaire, poitrine nue saillante, elle s’attend au détours d’étreintes buissonnières.
Curriculum sexy. Axiome viscéral : n’être jamais spectatrice, mais l’actrice qui dicte le rythme de la foudre. Elle tire le rideau des fantasmes quand ça la bacchanale.
Ni génuflexion ni rédemption, un je ne sais quoi de la Marquise de Merteuil dans sa philosophie libertine.
Un zeste de Gainsbourg dans l’atoll de sa mémoire :
Si elle assure affirmatif quoi toute seule no comment
De la technique affirmatif du doigté no comment
Self control affirmatif comment ça ooh ooh ooh
Si elle aime ça affirmatif quel côté no comment.
Elephant man - Dessin mine de plomb 2018 EPICERIE
Elephant man - Dessin mine de plomb 2018
EPICERIE FINE (delicatessen)
Galerie Christel Wagner, Frankfort, Allemagne -
https://www.christel-wagner-galerie.de/
du 16.O3.2018 au 21.04. 2018
“Un dessin réussi prête à rire.
Quand il est vraiment réussi, il prête à penser.
S’il prête à rire et à penser, alors c’est un excellent dessin. ”
(Tignous)
Epicerie Fine - exposition galerie Pierre Hallet, Bruxelles, janvier/février 2018
Il est des peintures qui nous hantent, qui ouvrent nos portes secrètes. Interrogeant le féminin, la diffraction de l’identité, ses masques, les scènes du désir, les terres du fantasme, de la mémoire, les peintures et dessins de Jacqueline Devreux délivrent des sortilèges hypnotiques.
Chargés d’une intense présence qui nous désarçonne, ses portraits se voient soumis à un processus d’effacement. Les visages en proie au flou, à la dissipation, la subtile palette chromatique nimbée d’un phénomène de halo mettent en œuvre une supraréalité zébrée par le spectral, un monde en marge du nôtre où le questionnement viscéral sur l’érotisme, l’inconscient, l’enfance ne fait qu’un avec une interrogation sur les limitations du visible.
Le figuratif se dépasse vers le figural dans de superbes compositions où le corps, nu ou vêtu, est exploré jusqu’à ses lignes irréelles, dans l’érosion des formes données et le lever de ses pulsions. Les jeux de références avec l’histoire de l’art s’allient à un climat de mystère traversé par l’humour, la sensualité et l’onirisme. Entre incarnation et désincarnation, son geste pictural est habité par l’urgence de ce qui brûle.
S’originant dans la photographie prise comme un matériau qu’ils reconfigurent, réélaborent radicalement, les dessins s’aventurent dans l’en deçà du représentable, aux confins des pulsions et de ce qui résiste au visible. L’étrange beauté produite par l’effacement des traits, par l’érosion du visage, crée un théâtre de l’intime qui apostrophe les zones obscures des spectateurs.
La palette des dessins à la mine de plomb oscille des noirs et des blancs aux gris et bruns, campant un monde à part, à l’écart du présent, scandé en tranches de vie immobilisées, en tranches de vision soustraites à la flèche du temps. Aplats ou traits hachurés, lumière frangée par l’ombre, certains dessins sont pris dans des mouvements tourbillonnants qui procurent une aura de surréalité.
Si l’œil écoute, c’est au sens où nous percevons le chant de sirène libéré par Jacqueline Devreux, un chant plastique entre ludisme, contes pour petites filles perverses et sortilèges hantés par la féerie.
Willkommen, comme l’énonce l’un des dessins, dans l’univers fantasmagorique de Jacqueline Devreux, un univers dans lequel il n’est jamais sûr que les ours en peluche rescapés de l’enfance réussissent à sauver l’enfance.
Véronique Bergen – extraits - 2017
La promesse
mine de plomb- 2017
Epicerie fine
Galerie Pierre Hallet
33 rue ernest allard
1000 bruxelles
Exposition jusqu’au 4 février 2018
Contact http://www.galeriepierrehallet.com/
voir article in « mu in the city »:
http://mu-inthecity.com/2017/12/jacqueline-devreux-galerie-pierre-hallet/voir article in carnet d'arthttp://www.carnetdart.com/jacqueline-devreux-3/
Voir article in de l'art helvetique contemporainhttp://delarthelvetiquecontemporain.blog.24heures.ch/archive/2017/12/06/les-farces-et-attrapes-de-jacqueline-devreux-864848.htmlMadame rêve
mine de plomb - 2017
Un passé encombrant
mine de plomb 2018
L'initiation
mine de plomb- 2017
Tête à tête
huile sur toile 2016
Ces quelques fleurs
mine de plomb - 2017
Party Girls
mine de plomb - 2017
Kinfd of blue
huimle sur toile - 2017
I'mon fire
mine de plomb -2017
Wilkommen
mine de plomb- 2017
Curiosity kills the cat huile sur toile 2017
Les fenêtres qui parlentProposition des « Couples
Les fenêtres qui parlent
Proposition des « Couples improbables » de Jacqueline Devreux
« Les fenêtres qui parlent » est une performance photographique faite à Roubaix en collaboration avec La plus petite galerie du monde (ou presque).
À cette occasion, la galerie me donne l’occasion de lancer mon projet « Les couples improbables » avec en casting tous les habitants de la rue des Arts et des rues environnantes!
Les rues s’illustreront de ces images de « couples improbables ».
Exposition jusqu’au 30 avril 2017 des tableaux récents des séries :
Je ma muse / Tant que le loup n’y est pas / J’aurai ta peau / Jeunes filles en uniforme
EXPOSITION VISIBLE
69, rue des Arts, 59100 Roubaix
+33 3 20 24 35 31
hossepied.luc@neuf.fr
Aux fenêtres de la rue des arts et environs.
À la ppgm* : les samedis 8, 15 et 22 avril de 15 à 18h
et sur rendez-vous : 06 15 79 18 25 (L.H.)